ON NE SE TUE PAS POUR MOURIR, ON SE TUE POUR EXISTER
Moment incertain....(à Hyères)
Les journées se ressemblent, le matin à peine lever, je regarde la silhouette du chien, ce labrador noir qui est bientôt âgé de 7 ans, souffrant d'une maladie rare...Ma première pensée est pour mon bonhomme de compagnie à quatre pattes.
Il me regarde, sa bouille du matin est toujours un plaisir;la chambre donne directement sur le séjour, la lumière exterieure reflète allégrement sur les quatre fenêtre qui environne la chambre.
Je commence à ranger tout ce que j’ai dérangé pendant la soirée et parfois jusqu'au bout de la nuit, car je n’arrive que très difficilement à trouver le sommeil.
Il y a un DVD qui traîne sur la table basse, il s’agit de « La liste de Schindler » du grand Steven Spielberg, un film d’une grande qualité, cela donne un coup de fouet sur le respect de la vie en générale, sa qualité d’images, ce noir et blanc inquiétant, cette façon de s'attarder au vêtement de couleur rouge que porte cette petite fille au moment de la rafle, de cet horrible holocauste
On peut y voir aussi des films ou John Wayne et Gary Cooper jouent quelques uns de leurs meilleurs rôles : « La Chevauchée fantastique » de John Ford, « Vera Cruz » de Robert Aldrich et bien d’autres.
Il faut dire que chaque soir je regarde un ou deux films en DVD, et je peux vous assurer que le cinéma est présent, le DVD, la K7, la lecture, les passions...
Au fur et à mesure du temps qui passe, je diffuserai par le biai de ce blog, mes différents ecrits sur le sens que l'on peut donner à la vie, mais aussi ma passion du cinéma, de l'image, du son.. j'aime pronfondément les acteurs, leurs interprêtations..
Parfois je développerai mes idées par rapport à la politique, "mes coups de gueule" mais aussi la TV, la musique, mes idées, les injustices et bien d'autres analyses seront évoqués....
j'ai connu des personnes de qualité, qui sont partis bien trop tôt.
Un père adoptif sûrement assassiné mais personne ne souhaite recherche les personnes âgés atteint de maladie d'asthzeimer.
J'ai rencontré Thierry Le Luron à trois reprises, dont la plus significative fut Avenue Montaigne, j'aimais bien ce mec, il n'avait pas la langue dans sa poche, point commun ! nous avons le même chien, un labrador noir....