LA CHARRETTE FANTOME de Julien Duvivier
LA CHARRETTE FANTOME
Coup de Coeur *****
de Julien Duvivier 1939
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David Holm
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Pierre FRESNAY
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Georges
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Louis JOUVET
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Soeur Edith
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Micheline FRANCEY
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Soeur Maria
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Marie BELL
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Le Père Martin
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Robert le VIGAN
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Pierre Holm
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Jean MERCANTON
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Réalisateur Julien DUVIVIER | |
Dialogues Alexandre ARNOUX |
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Adaptation Julien DUVIVIER | |
D'après le roman de Selma LAGERLOF Montage |
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Directeur de la photo Henri PECQUEUX | |
Décors et costumes Jacques KRAUSS - André TREBUCHET | |
Musique Jacques IBERT | |
Producteur Transcontinental Films | |
Co-Producteur | |
Distributeur Columbia Films Date de sortie : / 17 février 1940 Durée et synopsis : |
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Une jeune fille, membre de l'Armée du Salut, s'est donné pour mission de conduire un ivrogne invétéré et son compagnon de beuverie au repentir.
David Holm est un ivrogne et un voyou. Georges, son compagnon de beuverie, vient d'être désigné comme la prochaine victime d'une célèbre légende, selon laquelle celui qui rend l'âme au moment où commence la nouvelle année est condamné à tirer pendant un an la charrette fantôme, chargée d'emporter les morts. Soeur Edith, qui s'est toujours vouée corps et âme aux défavorisés, s'est donné pour mission de ramener les deux hommes dans le droit chemin
Julien Duvivier réalise une sacrée performance en réalisant le remake du film muet (1920) du cinéaste suédois Victor Sjöström : "La Charrette fantôme". Tirès d''après le roman de Selma Lagerloff "Le Charretier de la mort". Bien sûr, on n peut comparer les deux films qui ont été diffusé au cinéma de Minuit (France 3 - anciennement Fr3).
Film de prestige de l'année 1939, le film de Duvivier avait été selectionné pour représenter la France au premier Festival de Cannes qui n'eut jamais lieu, à cause de la déclaration de guerre. Le Festival de Cannes ne devait pas initalement être prévu au mois de mai, mais bien en septembre.
Le film parut sur les écrans parisiens en mars 1940, quelques temps après ce fut "La Continental" qui prit la rélève dans toutes les coorporations cinématographiques (Productions, distributions, choix des comédiens et des cinéastes). Le succès fut d'estime pour Duvivier. Certaines séquences sont inoubliables. O n parle aussi de cette vieille légende... Une charrette qui grince, un attelage conduit par «le larbin de la mort» que seuls entendent ceux qui vont disparaître. L'homme qui meurt lors des douze coups de minuit, le soir de la Saint-Sylvestre, devient à son tour le larbin de la mort...
D'autres films furent tourner à la meme époque (1939 -1940 : "Untel père et fils" de Duvivier, "La fille du puisatier" de Pagnol, "Menaces" d'Edmond T. Gréville, "Les Musiciens du ciel" de Georges Lacombe" (Curieusement, ce film qui se déroule enn partie parmi les "salutistes", se trouva conccurencé par la sortie simultanée du film "La Charrette fantôme" de Duvivier. Les autres films sont : "Ils étaient neuf célibataires" de Sacha Guitry, "Elles étaient douze femmes" d'Yves Mirande, "Paradis Perdu" d'Abel Gance, "L'enfer des Anges" de Christian Jaque, "Volpone" de Maurice Tourneur, "Battement de coeur" d'Henri Decoin, "Entente Cordiale" de Marcel L'Herbier.
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