JOHN HUSTON, UNE OEUVRE MAJEURE CINÉMATOGRAPHIQUEMENT PARLANT
JOHN HUSTON 1906 - 1987
Cinéaste, Acteur, Scénariste, Producteur Américain
John Huston fut le cinéaste aux talents multiples -cavalier hors pair, éleveur de chevaux, boxeur, peintre, écrivain, acteur et conteur, avec un faible pour les animaux - John Huston n'a jamais été un cinéaste acharné. Il s'est toujours tenu à l'écart de la scène hollywoodienne. Sur plus de quarante années, il a tourné régulièrement, un film en moyenne par an.
A la fois professionnel et artisan qui écrit la plupart de ses scénarios, il adapte également des romans et, à l'occasion des pièces de théâtre."Réaliser un film pour moi, n'est rien d'autre que le prolongement du travail d'écriture" déclara Huston. "Il s'agit de rendre ce que l'on a écrit". Le caractère inégal de ses films est dû en partie à la qualité variable des sources originales dont il s'inspire et aux pressions commerciales qui l'ont amené à tourner des projets qui ne lui convenaient pas.
John Huston est né le 5 août 1906 à Nevada dans le Missouri, Etats-Unis et qu'il fut baptisé sous le nom de John Marcellus. Son père Walter Huston, acteur d'origine irlandaise, abandonna son métier d'ingénieur des eaux au profit du music-hal, sa mère, Reha Gore, écrivain de renom l'habituent très tôt à une vie errante. Il était considéré dans les années 20 comme un bon acteur de théâtre Lors de l'avènement du parlant, Huston père abandonna les planches pour se rendre à Hollywood, comme nombre d'autres comédiens. Les parents de John se séparèrent alors qu'il était encore enfant. Le petit John passa sa jeunesse tantôt parmi la troupe dont faisait partie son père, tantôt avec sa mère, qui menait une vie aussi aventureuse que son mari puisqu'elle était journaliste et aimait les voyages et le chevaux. Deux passions dont hérita d'ailleurs son fils. Le petit Huston avait une santé délicate; il raconta une fois au critique James Agee qu'il s'était soigné tout seul en s'échappant une nuit du sanatorium pour aller plonger dans un torrent glacé.
Durant son adolescence, il devint un excellent boxeur professionnel. A l'âge de vingt ans, il se maria : premier mariage d'une série qui allait être très longue. Très bon cavalier, il fut chargé d'une brève mission auprès de l'armée mexicaine. Il écrivit un livre, qui fut bien accueilli par la critique, dans lequel il donna une version personnelle de l'histoire des célèbres hors-la-loi Frankie et Johnny, et publia par la suite plusieurs récits dans différentes revues. Toujours curieux, Huston partit vivre à Paris, où il se produisit dans des cafés-concerts. Puis il s'installa à Londres, avant de gagner enfin Hollywood. John Huston écrivit des nouvelles et des pièces de théâtre et fit ses débuts de comédien.
De tous les personnages crées par Huston, le plus captivant n'est autre que lui-même : homme de grande taille, d'une force peu commune, élégant dans sa façon de se déplacer, doué d'un charme irrésistible et d'un enthousiasme insatiable pour la vie, les chevaux, les femmes, les cuites, les jeux de hasard, l'aventure, le travail, les livres, l'art et bien d'autres choses encore. Il faut admettre que l'amour incorrigible de Huston pour son propre personnage et son talent indiscutable pour raconter des histoires incroyables peuvent avoir "romancé" quelque peu les données biographiques de ses premières années.
Grâce à l'influence de son père, acteur très estimé à Hollywood et qui avait incarné le personnage principal dans "Abraham Lincoln" (1930) de D.W. Griffith, Huston fut engagé comme scénariste par la Warner. Son premier travail consista à écrire les dialogues de "A House Divided" (1932), un film réalisé par William Wyler. La quantité de scénarios que Huston écrivit pour la Warner est impréssionnante : "Murders in the Rue Morgue" (1932) de Robert Florey, "L'Insoumise" (Jezebel,1938) de Wyler et "Le Mystérieux Dr Clitterhouse" (The Amazing Dr Clitterhouse,1938) d'Anatole Litvak; "Juarez" (1939) et "Ehrlich's Magic Bullet" (1940) de William Dieterle; "La Grande Evasion" (High Sierra,1941) de Raoul Walsh et "Sergent York" (1941) de Howard Hawks.
En 1941, Huston se sentit prêt à affronter la réalisation et parvint à en convaincre la Warner. Jack Warner lui affirma que, s'il s'estimait capable de tirer un bon scénario du roman "Le Faucon Malte" de Dashiell Hammett, la réalisation du film lui serait également confiée. Huston a raconté ensuite que le scénariste Allen Rivkin et lui-même commencèrent simplement à décomposer le roman en scènes et en parties dialoguées, laissant à la secrétaire de Huston le soin de "monter" le tout. Ce travail on ne peut plus mécanique arriva entre les mains de Jack Warner, qui le lut avec beaucoup de plaisir et encouragea Huston à continuer. Il ne fait aucun doute que Huston cherche à faire croire que "Le Faucon Maltais" (The Maltese Falcon,1941) n'est que le résultat d'un coup de chance. Mais cela n'est guère crédible, ne serait-ce que parce qu'en d'autres occasions, comme dans le cas d'un des ses derniers films, "Le Malin" (Wise Blood,1979), Huston s'est bien gardé de "charcuter" les oeuvres d'auteurs connus. En règle générale, il a a choisi au contraire des romans dont il pouvait tirer un scénario clair, précis et aussi fidèle que possible au texte original.
Les affirmations de Huston sont sûrement plus dignes de foi lorsqu'il soutient avoir suivi les conseils de son producteur, Henry Blanke : "Je repris chaque scène comme si elle était la plus importante du film. Chaque prise de vues devait compter. Il ne fallait rien négliger, aucun détail ne devait être oublié." Il est certain que Huston fit siennes ces directives, puisque sa première réalisation est parfaite, à commencer par le choix des interprètes, et que ce film est un des grands classiques du septième art. Et Huston s'en est merveilleusement tiré. George Raft, initialement choisi par le studio pour incarner le détective privé Sam Spade, refuse le rôle. Et c'est Bogart qui l'obtient. Parmi la distribution, on peut voir débuter Sydney Greestreet, mystérieux malfrat cultivé, géant bien employé face à un Peter Lorre geignard et magouilleur. Ce sera le premier film d'une série que les acteurs feront ensemble. Mary Astor y incarne la belle menteuse et Elisha Cook Jr un faux jeton de première classe. Tous les acteurs y trouvent un rôle à leur mesure. Walter Huston y fera une brève apparition pour son fils.
Les travaux suivants de Huston ne furent pas du même niveau "In This Our Life" (1942) avec Bette Davis, un film réalisé en peu de temps, qui cherchait à exploiter le succès obtenu par l'actrice dans "L'Insoumise" et "La Vipère", "Griffes jaunes" (Across the Pacific,1942) un thriller d'espionnage, qui réunissait la plupart des acteurs du "Faucon maltais", ne sont pas, loin s'en faut, des chefs-d'oeuvre. On a souvent parlé, à propos des "Griffes jaunes" dont l'action se situe dans les semaines qui précèdèrent l'attaque de Pearl Harbour, de "farce propagande".
Pendant la guerre, le réalisateur se mit au service de l'armée, pour laquelle il tourna trois courts métrages : "Report from the Aleutians" (1943) "The Battle of San Pietro" (1945) et "Let There Be Light" (1946). Ce dernier film abordait le problème des anciens combattants traumatisés par la guerre, un sujet plutôt brûlant qui provoqua l'intervention de la censure. Le film fut même retiré de la circulation et ce n'est que bien plus tard, qu'il a été distribué. Cette expérience servit sans nul doute à Huston pour la réalisation, en 1962, de "Freud, passions secrètes" (Freud). A noter qu'en 1944, il se retrouve en Italie où il suit les exploits d'un régiment de l'infanterie américaine : ce fut comme indiqué ci-dessus : "The Battle of San Pietro". "Jusque-là, aucun film de guerre n'a montré de façon aussi précise ce que la guerre coûte en vies humaines" écrivait à l'époque le critique James Agee. Quant au troisième court métrage, "Let There Be Light", considéré comme un remarquable documentaire de guerre, sans doute le meilleur qu'il ait fait. Il fut interdit aux Etats-Unis par le War Department en raison de l'aspect délicat du sujet, ce document ne sortira qu'en 1980.
Huston revint à la Warner, pour laquelle il signe en 1948 un autre classique, "Le Trésor de la Sierra Madre" (The Treasure of the Sierra Madre), d'après un roman de B. Traven. Le film reprenait le modèle narratif du "Faucon maltais", un schéma qui allait devenir typique de l'oeuvre de Huston : celui d'un groupe de personnes engagées dans la recherche, passionnée et au besoin criminelle, d'un objet ou d'un butin qui ne sera finalement qu'une illusion. Humphrey Bogart y donnait la réplique à Walter Huston. John Huston obtint l'Oscar de la meilleure réalisation, quant à son père, Walter Huston reçut celui du meilleur acteur de second plan pour son rôle de Howard. La suite de sa filmographie confirme l'extrême variété de son talent, que ce soit dans la biographie filmée, le drame psychologique, le récit d'aventures, le western, le contexte sportif, la superproduction ou la satire grinçante.
La dernière production de la Warner à laquelle Huston travailla fut "Key Largo" (1948), qui bénéficiait d'une excellente distribution : Humphrey Bogart, Lauren Bacall, Edward G. Robinson et Lionel Barrymore, mais qui resta pour l'essentiel une simple adaptation à l'écran d'une pièce de Maxwell Anderson. Ce film est typique des années 47-48, par son contexte social, moral et même politique.
Le film suivant de Huston, "Les Insurgés" (We Were Strangers,1949) n'eut pas beaucoup de succès. Son sujet était pourtant très captivant, puisqu'il parlait d'un groupe de révolutionnaires cubains qui creusaient un passage souterrain dans un cimetière pour préparer un attentat. Huston retrouva sa popularité en travaillant pour la MGM. Il fut nominé à l'Oscar pour "Quand la ville dort" (The Asphalt Jungle,1950), histoire très forte, pleine de tension et de suspense, d'un groupe de gangsters organisant un hold-up contre une bijouterie.
Malgré les réserves de Louis B. Mayer, la MGM chargea ensuite Huston de réaliser "La Charge victorieuse" (The Red Badge of Courage,1951) d'après un célèbre roman de Stephen Crane. Les vicissitudes que connut le film (le résultat final fut fortement compromis par les coupures et les interventions du studio : seules 69 minutes de tout ce que Huston avait tourné pure être sauvées) ont été décrites par Lillian Ross dans son livre "Picture". Malgré tout ces avatars, le film porte l'empreinte de son auteur et tiré profit de l'excellente interprétation d'Audie Murphy.
"The African Queen" (1951), dont Agee écrivit le scénario d'après un roman de C.S. Forester, est un des films de Huston qui rencontrèrent le plus de succès. On pouvait y retrouver Bogart dans un rôle de capitaine de rafiot alcoolique et Katharine Hepburn en vieille fille bigote et revêche qui devient son associée dans un combat dérisoire contre les forces allemandes en Afrique. Ce fut aussi la première des innombrables fois où les acteurs et l'équipe technique furent "obligés" de partager l'enthousiasme de Huston pour l'aventure. Il exigea en effet que le tournage ait lieu au Congo, en dépit des pénibles conditions climatiques. Errol Flynn, Trevor Howard et les techniciens allaient souffrir davantage encore au Tchad, lors du tournage des "Racines du ciel" (The Roots of Heaven,1958). En fait, le cinéaste rompra définitivement avec Hollywood à partir d' "African Queen", préférant travailler à l'étranger. Dans le cas présent, à une époque où la couleur gagne du terrain, Huston fait son premier essai avec le technicolor, de même que Bogart et Katharine Hepburn.
Considéré alors comme un des plus grands réalisateurs de Hollywood, Huston sembla soudain marquer le pas. Excellent d'un point de vue plastique, "Moulin-Rouge" (1952), avec José Ferrer se traînant gauchement sur les genoux pour incarner le peintre Toulouse-Lautrec, ne sortait pas du cadre des productions les plus conventionnelles de Hollywood. Des images étonnantes, hautes en couleur et allègrement dansées, enchaîne sur la silhouette solitaire et difforme de Toulouse-Lautrec cheminant la nuit dans les rues de Paris. "Plus fort que le diable" (Bat the Devil,1953) fut une sorte de pastiche réussi de films d'aventures et de thriller tourné en Italie mais loin de pouvoir le comparer au succès du "Faucon maltais" : Bogart et Peter Lorre étaient d'ailleurs à l'affiche, Robert Morley ayant pris la place du gros Sidney Greenstreet. Mais le film était inégal et avait quelque chose d'inachevé. "Moby Dick" (1956) fut qu'une pâle réplique du chef-d'oeuvre de Melville, et le fait que Huston défendît passionnément l'interprétation très discutée de Gregory Peck n'y changea rien. Les expériences audacieuses avec la couleur, avec la collaboration de l'opérateur anglais Oswald Morris, ne devaient aboutir que beaucoup plus tard, notamment dans "Reflets dans un oeil d'or" (Reflections in a Golden Eye,1967).
Après un excellent et insolite western, "Le Vent de la plaine" (The Unforgiven,1960), Huston confirma son grand talent en réalisant "Les Désaxés" (The Misfits,1961), description nostalgique d'un quatuor de "perdants" : une femme divorcée et trois hommes qui capturent des chevaux sauvages dans le Nevada. Huston était peut-être le seul réalisateur capable de donner à Marlyn Monroe la force d'affronter le scénario d'Arthur Miller à une époque où la comédienne était en proie à des crises dépressives. Les autres interprètes n'étaient guère en meilleure condition : Montgomery Clift souffrait lui aussi de dépression; Clark Gable, épuisé, allait mourir d'une crise cardiaque peu après la fin du tournage, le 16 novembre 1960.
Huston dirigea encore Montgomery Clift dans la biographie cinématographique "Freud, passions secrètes" (1961), qui fut mal reçue, tant par le public que par la critique. "Le Dernier de la liste" (The List of Adrian Messenger,1963) fut un thriller très conventionnel. Par contre, "La Nuit de l'iguane" (The Night of the Iguana,1964), adaptation cinématographique de la pièce de Tennessee Williams, fut une oeuvre vigoureuse servie par une distribution exceptionnelle : Richard Burton, Ava Gardner, Deborah Kerr. Suivirent deux superproductions, "La Bible", produite en 1966 par Dino De Laurentiis, et "Casino Royale" (Casino Royale,1967), dans laquelle Huston figura aux côtés de quatre autres réalisateurs : Robert Parrish, Val Guest, Ken Hughes, Joseph McGrath.
Mais Huston montra toute son intelligence dans "Reflets dans un oeil d'or", magistralement interprété par Elizabeth Taylor, Marlon Brando, Brian Keith et Julie Harris. Ce film inquiétant qui connut un grand succès fut suivi de deux fiascos sur le plan commercial : "Promenade avec l'amour et la mort" (A Walk With Love and Death,1969), ambitieux mais raté, et "Davey des grands chemins" (Sinful Davey,1969), joyeuse comédie en costumes. Tout de suite après, Huston réalisa en 1970, "La Lettre du Kremlin" (The Kremlin Letter), un thriller touffu qui ne manquait pas d'observations exactes et de constance dans l'écriture du film.
L'année 1972 vit la sortie d'un autre grand film, "La Dernière chance" (Fat City), un film dur et cruel sur le monde de la boxe interprété par Stacy Keach, Jeff Bridges et Susan Tyrell, dans lequel Huston évoquait les souvenirs de son adolescence. La même année, il réalisa "Juge et hors-la-loi" (The Life and Times of Judge Roy Bean), un bizarre western satirique traité de manière désinvolte et, en 1973, un modeste thriller avec Paul Newman, "Le Piège" (The Mackintosh Man).
Deux ans plus tard, Huston accepta l'offre qui lui était proposée de réaliser un de ses plus vieux projets, "L'Homme qui voulut être roi" (The Man Who Would Be King). Ce flamboyant film d'aventures s'inspirait d'un roman de Rudyard Kipling et bénéficia d'une très belle interprétation de Sean Connery et Michael Caine dans les rôles principaux et de Christopher Plummer dans celui de Kipling. A l'âge de soixante-dix sept ans, Huston réalisait un film étonnant de jeunesse, "Le Malin", une adaptation du roman de Flannery O'Connor traitant de la religiosité exacerbée dans les Etats du sud de l'Amérique.
Durant le tournage de ses films, Huston donna l'impression de vouloir rester dans l'ombre. Il se décharge apparemment de ses tâches sur son meilleur assistant et sur son meilleur opérateur. Il attachait par contre beaucoup d'importance à la préparation du film. "Toute la difficulté - déclarait-il à Karel Reisz qui l'avait interrogé sur le plateau de "La Reine Africaine" et qui lui avait fait remarquer que Katharine Hepburn et Humphrey Bogart semblaient pratiquement livrés à eux-mêmes-consiste à confier les rôles aux acteurs appropriés."
Il travaillait différemment avec des acteurs confirmés comme Katharine Hepburn, ou avec des comédiens encore peu connus comme Audie Murphy dans "La Charge victorieuse" ou Brad Dourif dans "Le Malin". Dans l'article que James Agee lui consacra dans le magazine Life en 1950, on ne trouve que des jugements élogieux : "Réalisateur doué d'un esprit d'invention supérieur à celui des réalisateurs de sa génération, Huston, mieux que tout autre et pour la première fois depuis D.W. Griffith, a su développer, rajeunir et clarifier l'écriture fondamentale du cinéma américain."
On pourrait répondre qu'Agee était trop lié à Huston pour être objectif. Mais bien d'autres critiques de l'époque partageaient son opinion. L'attitude des critiques à l'égard de Huston évolua quelque peu. Pour le critique Robin Wood, par exemple, Huston n'est qu'un simple artisan et non un artiste, parce que selon lui : "Un artiste doit être capable de créer et d'imposer son style et que celui-ci doit être immédiatement reconnaissable." Ce qu'il dénie à Huston. C'était aussi l'avis des Cahiers du cinéma au temps de la "politique des auteurs" et Huston ne faisait pas partie des "auteurs" de la revue qui lui opposait alors Hitchcock ou Hawks. Ce débat paraît aujourd'hui dépassé et Huston grâce à ses derniers films, fait l'unanimité, en France comme à l'étranger.
Huston ne s'arrête pas en chemin dans les années 80. Il aborde de nouveaux registres, celui de la comédie musicale, avec "Annie" en 1981. Peu de temps avant, il avait réussi son précèdent film "A nous la victoire" (Escape to Victory,1981) avec Michael Caine et Sylvester Stallone. Vient ensuite un projet qui lui est cher et dont on parlera beaucoup, en bien pour les uns, en mal pour les autres : l'adaptation du roman de Malcom Lowry "Au-dessus du volcan" (Under The Volcano,1984), dans lequel Albert Finney fait une composition impressionnante du Consul. En 1985, il tourne "L'Honneur des Prizzi" (Prizzi's Honor) avec Jack Nicholson et Kathleen Turner ainsi que sa fille Angelica Huston. Un ultime film en 1987 "Les Gens de Dublin" (The Dead). John Huston meurt le 28 août 1987 à l'âge de 81 ans à Middletown dans le Rhode-Island aux Etats-Unis.
Le Trésor de la Sierra Madre de John Huston
Key Largo (1948) de John Huston -VF & VOST
Quand la ville dort de John Huston (Asphalt Jungle) (VOST)
The African Queen Bande annonce VO
Dieu seul le sait - Bande annonce Reprise 2016 HD VOST
Les Racines du ciel - 1958
Le Vent de la Plaine ( bande annonce VO )
Reflets dans un Oeil d'Or - Extrait Officiel (VOST) - Marlon Brando / Elizabeth Taylor
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